En renvoyant aux calendes grecques la perspective d’un usage des matières radioactives dites « valorisables » - mais de fait non valorisées -, l’abandon du projet Astrid fait s’écrouler le château de cartes patiemment mis en place par l’État nucléaire : le mythe du « cycle fermé » ne tient plus, et le casse-tête des « matières et déchets radioactifs » reste entier...
Benjamin Dessus, Alternatives Économiques, mardi 24 septembre 2019