Cette note présente la localisation du projet Cigéo de l’ANDRA dont la demande d’autorisation de construction (DAC) est en cours d’instruction par l’Autorité de sûreté nucléaire et radioprotection (ASNR).
Cette localisation en deux zones, l’une dans le département de la Meuse et l’autre dans celui de la Haute-Marne, distantes d’environ 4 km, conduit à une « descenderie » des colis de déchets radioactifs de haute activité (HA) et de moyenne activité à vie longue (MA-VL) d’une longueur de 4200 m, en pente douce.
Le choix de deux zones distinctes, chacune sur l’un des deux départements, a été manifestement inspiré, voire imposé, par des choix politiques portés par les élus départementaux et régionaux concernés, sur la base d’une répartition entre départements des produits fiscaux qu’apporterait ce projet considérable.
Une solution alternative à une seule zone qui semble plus intéressante est brièvement exposée et mériterait d’être étudiée en termes de sûreté et de sécurité nucléaires, en termes techniques et économiques, notamment sur l’ampleur des travaux.
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