Sur cette page :
• La sûreté des réacteurs nucléaires : des principes à la réalité
(Monique Sené, Brasilia, 27 octobre 2015)
• Brésil : Areva réduit son activité à Angra 3... sur fond de corruption alléguée (Revue de presse)
• À découvrir également sur le site de Global Chance (Dossiers et publications)
LA SÛRETÉ DES RÉACTEURS NUCLÉAIRES : DES PRINCIPES À LA RÉALITÉ
Monique Sené (*), intervention dans le cadre du séminaire international « Les centrales nucléaires : leçons de l’expérience mondiale », Sénat fédéral du Brésil, Brasilia, mardi 27 octobre 2015.
(*) Physicienne nucléaire, cofondatrice du GSIEN (Groupement des scientifiques pour l’information sur l’énergie nucléaire), qui édite depuis 1976 La Gazette Nucléaire.
Ci-dessous :
Téléchargement / Table des matières / Extraits : Un peu d’histoire à propos des réacteurs
(*) Organisation : Coalizão por um Brasil Livre de Usinas Nucleares
Cliquer sur l’image pour accéder à la présentation - en brésilien - du séminaire.
Également sur Global-Chance.org, deux autres pages relatives au même séminaire :
Production et gestion des déchets radioactifs des industries électronucléaires
Bernard Laponche, intervention dans le cadre du séminaire international « Les centrales nucléaires : leçons de l’expérience mondiale », Sénat fédéral du Brésil, Brasilia, mardi 27 octobre 2015.
Les coûts du nucléaire
Bernard Laponche, intervention dans le cadre du séminaire international « Les centrales nucléaires : leçons de l’expérience mondiale », Sénat fédéral du Brésil, Brasilia, mardi 27 octobre 2015.
TÉLÉCHARGEMENT
La sûreté des réacteurs nucléaires : des principes à la réalité [12 pages, 685 ko, fichier pdf]
Monique Sené, octobre 2015
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TABLE DES MATIÈRES
1. Réacteur et centrale nucléaires
1.1 Le réacteur nucléaire produit de la chaleur
1.2 Les trois circuits de la centrale nucléaire
2. Des réacteurs en veux-tu en voilà
3. Les différentes étapes du fonctionnement du réacteur en termes de risques
4. Mais qu’en est-il réellement ?
5. Les exigences réglementaires
5.1 Analyse de la « défense en profondeur »
5.2 Analyse de l’exclusion de rupture
5.3 Les tribulations de l’EPR
6. Un peu d’histoire à propos des réacteurs
6 .1 La « pollution thermique »
6.2 Les effluents gazeux et liquides des centrales
6.3 La sûreté des réacteurs
6.4 Traitement des déchets radioactifs
Annexes
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UN PEU D’HISTOIRE À PROPOS DES RÉACTEURS (extraits)
En 1974 (début du programme français), des chercheurs du Centre National de la Recherche Scientifique avaient dans un rapport visionnaire souligné une série de problèmes :
[...]
« Le problème de la sûreté des réacteurs est un sujet extrêmement difficile à aborder, car la plupart des questions techniques qui s’y rapportent sont couvertes en partie par le secret industriel et aucun effort n’a été fait jusqu’à présent dans la présentation des rapports de sûreté pour reporter l’information concernée en annexe confidentielle, le corps du texte pouvant être rendu public. Le même problème se pose à un moindre degré en ce qui concerne les données médicales sur l’irradiation et la contamination des travailleurs et des populations entourant les installations nucléaires, et on ne peut que souhaiter une meilleure information de la part des services concernés, car on ne voit pas en quoi le secret médical devrait s’appliquer à des données d’ordre statistiques, non nominatives. »
[...]
« D’autre part, la méthodologie même de la conception est contestée : il est déjà difficile d’estimer les conséquences successives de la défaillance d’un seul élément d’un système complexe comme une centrale ; de faibles erreurs au niveau de chaque relation de cause à effet ont un effet cumulatif, et les estimations de probabilité sont affectées d’incertitudes donnant des rapports pouvant atteindre plusieurs facteurs dix entre des études différentes. Mais on constate en fait que beaucoup d’incidents sont dus à une panne simultanée de divers éléments, provoquée par une même cause indirecte et imprévisible : même les ordinateurs les plus puissants ne peuvent traiter toutes les multiples combinaisons de ce genre. »
[...]
« L’opérateur de réacteur nucléaire en exploitation est pris entre trois pressions inévitables : les contraintes d’exploitation, les procédures et enfin le caractère nouveau des interventions requises puisque l’automatisme très poussé du système ne requiert une intervention que dans les imprévus, qui seront ultérieurement étudiés et incorporés au programme de contrôle. Ces conditions psychologiques ne peuvent être progressivement maîtrisée que par la maturation lente d’un « corps » de conducteurs de centrale, analogue à celui des officiers de pont ou des pilotes de ligne, doté d’une formation adéquate, d’un entraînement et d’un recyclage soutenus, de traditions, d’une éthique. Aller vite dans ce domaine impliquerait des risques considérables.
Finalement, et nous entrons ici dans le domaine de la pure conjecture, se posent les questions relatives à l’environnement social de l’industrie nucléaire : trafic de matériaux fissiles, chantages divers, terrorisme, états de guerre ou, à l’inverse, mesures de protection d’ordre policier ou militaire et influence de ces mesures sur les libertés individuelles. La sûreté de l’industrie nucléaire pose donc des problèmes d’ordre très divers : techniques, psychologiques et sociaux. »
[au sujet des déchets radioactifs :]
« Les points qui nous paraissent soulever des problèmes concernant l’usine de retraitement de la Hague dans le cadre concret du programme électronucléaire français, concernent : le rejet de krypton 85 dans l’atmosphère et de tritium dans l’eau, le taux de séparation des actinides dans les déchets de haute activité, les incertitudes concernant le stockage, sur de longues périodes, des déchets. »
Le rapport [...] conclut : « devant toutes ces difficultés, qui peuvent entraîner une modification substantielle et mal maîtrisable par notre société, il paraît souhaitable de diversifier les efforts en vue d’un meilleur approvisionnement énergétique. Des crédits équivalents d’une fraction, même faible de ceux consacrés au développement du programme nucléaire devraient être affectés aux recherches pour le développement d’énergies nouvelles. Le potentiel scientifique du CNRS pourrait utilement contribuer à ce type de recherches ».
En gras : souligné par la rédaction de Global-Chance.org
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BRÉSIL : AREVA RÉDUIT SON ACTIVITÉ À ANGRA 3...
SUR FOND DE CORRUPTION ALLÉGUÉE
Revue de presse :
• Areva va achever la construction du réacteur Angra 3 au Brésil
Jean-Michel Bezat, Le Monde, 7 novembre 2013
• Areva réduit ses activités sur le projet de réacteur Angra 3 au Brésil
Les Échos, 29 juin 2015
• Brésil : soupçons de corruption au sein de la compagnie publique d’électricité
LeMonde.fr avec AFP, 29 juillet 2015
• Brazil’s nuclear power program in crisis
Jim Green, Nuclear Monitor, 23 septembre 2015
Areva va achever la construction du réacteur Angra 3 au Brésil
Jean-Michel Bezat, Le Monde, 7 novembre 2013
Areva relance sa coopération avec le Brésil. Le groupe nucléaire français a annoncé, jeudi 7 novembre, la signature, la veille, d’un accord avec son partenaire local Electronuclear, filiale du groupe public Electrobras, pour achever la construction du troisième réacteur de la centrale d’Angra, à 150 km au sud de Rio de Janeiro. Le contrat s’élève à 1,25 milliard d’euros.
[...]
Le Brésil exploite déjà deux réacteurs assurant un tiers de l’approvisionnement de l’Etat de Rio de Janeiro : Angra 1, d’une puissance de 640 mégawatts (MW), mis en service en 1985, et Angra 2 (1 270 MW), raccordé au réseau en 2000.
La construction d’une troisième tranche (1 350 MW) par l’allemand Siemens, longtemps allié de Framatome, avait été interrompue en 1986 en raison de problèmes de financement du côté brésilien ; celle des deux premières (Westinghouse pour Angra 1 et Siemens pour Angra 2) avait été marquée par une dérive des coûts.
Après la rupture de la coopération Areva-Siemens en 2011, le géant nucléaire français a récupéré tout le savoir-faire. Et le projet Angra 3, dont les Allemands avaient déjà livré la cuve et d’autres gros composants comme la turbine. Il reste environ 50 % du réacteur à construire.
Areva en fournira notamment le contrôle-commande, le centre de pilotage de la centrale, qui représente une part substantielle du contrat.
[...]
Dès 2008, Paris avait signé un accord bilatéral avec Brasilia, prélude à une relance de la coopération entre Areva et Electronuclear. Le groupe français s’était alors immédiatement engouffré dans la brèche et avait signé, la même année, de nombreux contrats avec son partenaire local.
[...]
L’annonce intervient trois semaines après la conclusion de l’accord entre EDF et le gouvernement britannique pour la construction de deux premiers réacteurs de troisième génération EPR à Hinkley Point, dans le sud-est de l’Angleterre. C’est donc une bonne nouvelle pour le fabricant français de chaudières nucléaires et de contrôle-commande, le "cerveau" de la centrale, qui a déjà été retenu par EDF au Royaume-Uni.
[...]
Les écologistes sont sur le pied de guerre. Ils sont déjà très critiques sur le fonctionnement des deux premières tranches Angra 1 et Angra 2, où les incidents se sont, selon eux, multipliés depuis leur entrée en service.
Greenpeace juge que l’argent des Brésiliens ne doit pas financer des projets coûteux et « dangereux », estimant qu’« Angra 3 est un bon candidat pour devenir un nouveau Fukushima ».
(Brésil : Areva réduit son activité à Angra 3... sur fond de corruption alléguée)
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Areva réduit ses activités sur le projet de réacteur Angra 3 au Brésil
Les Échos, 29 juin 2015
Areva, qui a remporté fin 2013 un contrat de 1,25 milliard d’euros auprès de l’électricien brésilien Eletrobras Eletronuclear (ETN) pour terminer la construction du réacteur Angra 3, a annoncé vendredi avoir décidé d’y réduire ses activités, en raison d’« un retard dans le financement du reste des activités à réaliser pour mener à bien le projet ». « Dès qu’ETN aura consolidé une solution de financement pérenne, Areva redémarrera toutes ses activités dans le cadre du projet », a indiqué le groupe.
(Brésil : Areva réduit son activité à Angra 3... sur fond de corruption alléguée)
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Brésil : soupçons de corruption au sein de la compagnie publique d’électricité
LeMonde.fr avec AFP, 29 juillet 2015
L’ex-dirigeant d’Eletronuclear, filiale de la compagnie publique de production électrique brésilienne Eletrobras, a été interpellé pour des soupçons de pots-de-vin perçus pour l’attribution de marchés concernant le chantier d’une centrale nucléaire, a annoncé la justice mardi [28] juillet.
L’enquête porte sur des appels d’offres supposément truqués pour la construction de la centrale Angra-3, située à Angra dos Reis, à 150 km au sud de Rio de Janeiro. Selon le juge chargé du dossier, Eletronuclear – produit 3 % de l’électricité consommée au Brésil – a pris des mesures visant à réduire la concurrence, « ce qui a permis que l’appel d’offres soit remporté par les entreprises Camargo Correa, UTC Engenharia, Odebrecht, Andrade Gutiérrez, Queiroz Galvão, Techin et EBE, au sein du consortium Angramon ».
(Brésil : Areva réduit son activité à Angra 3... sur fond de corruption alléguée)
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Brazil’s nuclear power program in crisis
Jim Green, Nuclear Monitor, 23 septembre 2015
Othon Luiz Pinheiro da Silva, the former CEO of Brazil’s nuclear power company Eletronuclear was formally charged on September 1 with accepting bribes. Reuters reported that Pinheiro allegedly took bribes totaling 4.5 million reais (US$1.1m ; €1m) from construction and engineering firms involved in the construction of the Angra 3 nuclear power plant (1). The figure could be as high as US$10 million according to Associated Press (2).
The payments were allegedly made to fix the bidding process and increase prices for work on the Angra 3 reactor under construction 100 km west of Rio de Janeiro. Pinheiro has been in jail since July 28, and in early August he resigned as CEO of Eletronuclear, the nuclear subsidiary of state-run utility Eletrobras. Eletronuclear operates Brazil’s two nuclear power reactors and is building Angra 3 with the help of French nuclear utility Areva and numerous smaller construction firms.
Pinheiro, a retired navy admiral and nuclear engineer, has for decades been at the forefront of Brazil’s programs to develop nuclear power, an aborted nuclear weapons program when Brazil was under military rule, and ongoing plans to build submarines including one nuclear-powered submarine. The submarine tendering process is under investigation (3).
[...]
The Angra 3 project has descended into farce :
• Areva announced in June that it had temporarily reduced its activities at Angra 3 due to « delays encountered in securing financing for the remainder of the project’s activities » (5).
• At least four Brazilian construction firms halted work in mid-August due to lack of payment from Eletronuclear.
• Eletronuclear said on September 2 that it planned to suspend for 60 days a contract with the consortium building the reactor plant. Some constructions firms have pulled out of the project altogether (6). Eletronuclear is considering whether the remaining construction firms are financially and technically capable of carrying out the work.
[...]
Brazil’s nuclear power industry has a history of underachievement. The decision to develop nuclear power was taken by the 1964−1985 military dictatorship. A covert nuclear weapons program was also pursued. Public debate was not tolerated. « Protesting against nuclear energy was like protesting against the government, which meant prison, torture or death », said ecologist Vilmar Berna (8).
The Angra 1 reactor suffered ongoing problems with its steam supply system and its load factor over the first 15 years was only 25% (9). The most recent problem with Angra 1 occurred in February 2015, when the reactor was temporarily shut down after a failure of the capacitors used to cool steam (10).
Work on Angra 2 began in 1976 but the reactor did not commence operation until the year 2000.
Work started on Angra 3 in 1984. Around 70% of the equipment was delivered, but full construction did not begin and work on the project was suspended in 1986. In November 2006 the government announced plans to complete Angra 3 and construction began in June 2010. Operation was anticipated in 2015, but now there is considerable doubt as to whether the new 2019 start-up date can be met (or if the project will be completed at all). The total estimated cost for the project is US$7.59 billion, substantially greater than earlier estimates (9).
« The goal of 2019 will be very hard to meet. And the other plants, who knows ? » said Claudio Salles, president of Instituto Acende, a Brazilian energy-research group in Sao Paulo. « These plants take 10−15 years to build and as time goes on they become less viable. » (4)
Ildo Sauer, a nuclear physicist who worked under Pinheiro in the late 1980s and a former head of Petrobras natural gas’ division, says Brazil’s nuclear program is too expensive and has been co-opted by politicians and construction and engineering firms. « The problem is the lobbyists who see nuclear as a chance to build expensive megaprojects with little regard for cost. It’s no longer about science or energy. It’s about politics and money, and that brings corruption. » (4)
[...]
[Articles complet et références sur le site de WISE International]
Cliquer sur l’image pour accéder au site
« Coalizão por um Brasil Livre de Usinas Nucleares »
(Brésil : Areva réduit son activité à Angra 3... sur fond de corruption alléguée)
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À DÉCOUVRIR ÉGALEMENT SUR LE SITE DE GLOBAL CHANCE
Énergie, Environnement, Développement, Démocratie :
changer de paradigme pour résoudre la quadrature du cercle
Global Chance, mai 2011
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Sans relâche : décrypter, expliquer, proposer...
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Imaginer l’inimaginable ou cultiver son jardin ?
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Le casse-tête des matières et déchets nucléaires
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Des questions qui fâchent : contribution au débat national sur la transition énergétique
Les Cahiers de Global Chance, n°33, mars 2013, 116 pages
L’efficacité énergétique à travers le monde : sur le chemin de la transition
Les Cahiers de Global Chance, n°32, octobre 2012, 180 pages
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Publications de membres de l’association (sélection)
(encadré = plus d’informations au survol)
Sauver la planète sans changer nos pratiques sociales, économiques et politiques ?
Benjamin Dessus, ÉcoRev’, n°43, « L’écologie, le capitalisme et la COP : le bon, la brute et le truand », printemps-été 2016, pp. 104-115
« On sait que même en France un accident nucléaire majeur peut se produire »
Benjamin Dessus (interview), Charlie Hebdo, n°1233, mercredi 9 mars 2016
Propos recueillis par Fabrice Nicolino
Fukushima : ce que parler veut dire
Bernard Laponche, Le Journal de l’Énergie, lundi 7 mars 2016
La folle stratégie d’EDF pour faire échouer la transition énergétique
Benjamin Dessus, Reporterre.net, mardi 1er mars 2016
EDF : la fin de l’État dans l’État ?
Benjamin Dessus, AlterEcoPlus.fr, mercredi 24 février 2016
Nucléaire français : que faire devant la catastrophe économique annoncée ?
Benjamin Dessus, Le Club Mediapart, mercredi 17 février 2016
« Il faut reposer la question de la pertinence de Cigéo »
Bernard Laponche (interview), Repporterre.net, lundi 27 janvier 2016
Protéger l’environnement n’est pas une contrainte, mais bien une opportunité
Jean Louis Basdevant, Denis Clerc, Benjamin Dessus, Bernard Laponche, Hervé Le Treut, Georges Mercadal, Michel Mousel et Jacques Testart, AlterEco+, vendredi 22 janvier 2016
L’option nucléaire contre le changement climatique : risques associés, limites et frein aux alternatives
Yves Marignac & Manon Besnard, WISE-Paris, mardi 27 octobre 2015, 24 pages
Rapport commandé par Les Amis de la Terre, la Fondation Heinrich Böll, France Nature Environnement, Greenpeace, le Réseau Action Climat - France, le Réseau Sortir du Nucléaire et Wise Amsterdam
Nucléaire français : l’impasse industrielle
Le poids du pari industriel nucléaire de la France à l’heure de la transition énergétique
Yves Marignac & Manon Besnard, WISE-Paris, Rapport commandé par Greenpeace France, mardi 23 juin 2015, 72 pages
L’avenir bouché du nucléaire français
Benjamin Dessus, Alternatives économiques, n°347, juin 2015
Défauts de fabrication sur la cuve du réacteur EPR de Flamanville-3
Yves Marignac, WISE-Paris Briefing, lundi 13 avril 2015
L’échéance des 40 ans pour le parc nucléaire français
Processus de décision, options de renforcement et coûts associés à une éventuelle prolongation d’exploitation au delà de 40 ans des réacteurs d’EDF
Yves Marignac, Wise Paris, 22 février 2014, 171 pages
Innovation scientifique : la parole aux citoyens !
Jean-Marie Brom, Benjamin Dessus, Bernard Laponche, Monique Sené & Raymond Sené, Libération, mardi 29 octobre 2013
La gouvernance de la sûreté nucléaire. Citations et questionnements
Bernard Laponche, Débat national sur la transition énergétique, Note au groupe “Gouvernance” du CNDTE, mercredi 27 mars 2013, 28 pages
Le risque d’accident des centrales nucléaires. Citations et questionnements
Bernard Laponche, Débat national sur la transition énergétique, Note au sous-groupe “scénarios” du groupe d’experts, 26 mars 2013, 41 pages
Transition énergétique et sortie du nucléaire
Bernard Laponche, document de travail, décembre 2012, 20 pages
Nuclear-Free Futur Award 2012 : Yves Marignac lauréat !
Yves Marignac, discours d’acceptation, Heiden (Suisse), samedi 29 septembre 2012
Choix énergétiques : un débat biaisé
Benjamin Dessus, Pour La Science, n°414, avril 2012, pp. 30-35
Sûreté nucléaire en France post-Fukushima
Analyse critique des évaluations complémentaires de sûreté (ECS) menées sur les installations nucléaires françaises après Fukushima.
Arjun Makhijani et Yves Marignac, Rapport d’expertise, lundi 20 février 2012
Entre silence et mensonge. Le nucléaire, de la raison d’état au recyclage « écologique »
Bernard Laponche, entretien avec Charlotte Nordmann, La Revue internationale des Livres & des idées, n°14, novembre-décembre 2009
Le vieillissement des installations nucléaires : un processus mal maîtrisé et insuffisamment encadré
Yves Marignac, Contrôle (revue bimestrielle d’information de l’Autorité de Sûreté Nucléaire), dossier n°184 : « La poursuite d’exploitation des centrales nucléaires », juillet 2009
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