Autoriser l’absence de groupe générateur diesel d’ultime secours à Fessenheim I et II s’inscrirait dans « une logique de dérogation qu’aucune nécessité réelle ne justifie », tout en témoignant une nouvelle fois d’une « incapacité de plus en plus inquiétante de l’ASN à faire respecter ses décisions », et en laissant craindre, last but not least, que l’ASN autorise dans le futur « une sûreté à deux vitesses », dépendant du calendrier de fermeture présenté par EDF...
Yves Marignac, Wise-Paris, vendredi 5 septembre 2018