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Laborieuse mise en service de l’EPR de Flamanville (Mise à jour le 10 septembre 2024)
La mise en service de l’EPR de Flamanville s’avère difficile. Après avoir analysé les problèmes rencontrés pendant la construction (L’EPR DE FLAMANVILLE : DOUTES ET RISQUES), Global Chance fait le point sur les opérations en cours. Mise à jour le 10/9/2024
L’EPR DE FLAMANVILLE : DOUTES ET RISQUES
Le réacteur EPR de Flamanville était en construction depuis 2007 lorsque sa mise en service a été autorisée par l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) le 7 mai 2024. Ce rapport de Global Chance présente les problèmes qui risquent d’obérer le fonctionnement et la sûreté du réacteur et commente les solutions apportées ou proposées par EDF.
Commentaires de Global Chances relatifs à la mise en service de l’EPR de Flamanville
Le dossier présenté par EDF de demande d’autorisation de mise en service du réacteur EPR de Flamanville a donné lieu à plusieurs consultations du public de la part de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Une troisième consultation a débuté le 27 mars 2024 et est ouverte jusqu’au 17 avril 2024. Global Chance a émis un avis défavorable le 4 avril 2024.
L’épopée de l’EPR dans la presse 1995 – 2024
L’EPR est un acronyme connu. Avec 1650 MW, c’est le réacteur le plus puissant du monde. Fer de lance de la politique industrielle nucléaire, le programme a connu et connaît encore de nombreuses vicissitudes. Une version nouvelle, l’EPR2, est censé devenir la base du renouveau nucléaire français.
Consultation de l’ASN sur la demande d’autorisation de mise en service du réacteur EPR de Flamanville
Global Chance contribue à la consultation du public sur la demande d’autorisation de mise en service du réacteur EPR de Flamanville. Global Chance fonde son avis défavorable à la mise en service de l’EPR de Flamanville sur la persistance et la sévérité de problèmes techniques qui ont et continuent d’affecter le réacteur en obérant son bon fonctionnement et en mettant en question la sûreté.
L’EPR, un fiasco international
Le rapport, publié en mars 2022 à l’attention de Greenpeace, rassemble, en un même document, les principaux événements ayant conduit à de très conséquents retards et surcoûts sur chacun des six EPR en fonctionnement ou encore en construction dans le monde.
La folie des grandeurs
L’appétence d’EDF pour des réacteurs nucléaires de plus en plus puissants fait-elle apparaître de nouveaux risques de sûreté ? 1. La course à la puissance 2. Aux États-Unis 3. Et si cette augmentation de puissance apportait des risques nouveaux ? 4. Les SMR à la rescousse ?
Podcast "Un déjeuner avec Bernard" : épisode 3- Casse-croute et EPR (partie 1)
Dans cet épisode, nous revenons sur le désastre industriel du chantier de l’EPR.
Qu’est-ce qui a bien pu se passer pour que ce chantier ne soit toujours pas fini ?
Problème de piquages du circuit primaire de l’EPR de Flamanville
Cette note du Pôle d’expertise nucléaire et fossiles de l’Institut Negawatt présente l’analyse critique d’un nouveau problème de sûreté concernant le réacteur nucléaire EPR en construction à Flamanville.
LE PROLONGEMENT DES RÉACTEURS DE 900 MW EN FRANCE
Alors que la durée de fonctionnement des réacteurs du parc nucléaire d’EDF était initialement prévue de 40 ans, EDF a demandé que celle-ci soit prolongée à 50, voire 60 ans. En réponse à cette demande l’ASN a formulé trois séries d’exigences à mettre en œuvre lors des quatrièmes visites décennales des 32 réacteurs de 900 MW de puissance électrique qui ont commencé en 2019 : vérification du respect de la sûreté en tenant compte du vieillissement des installations ; mise en place complète des mesures « Post-Fukushima » ; ajout de nouveaux équipements per-mettant de rapprocher « autant que possible » la sûreté de ces réacteurs « prolongés » de celle des réacteurs EPR. La tâche est considérable et des interrogations fortes portent sur la capacité d’EDF à laréaliser au vu de la situation actuelle des réacteurs, de la perte de sa compétence technique ainsi que de ses difficultés financières.
Global Chance
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