La question nucléaire est à la fois technico-scientifique et démocratique : « il y a le problème du nucléaire lui-même, de ce qu’il est, de ses risques, et il y a le problème des gens qui s’en occupent. »
Bernard Laponche, entretien avec Charlotte Nordmann, La Revue internationale des Livres et des idées, n°14, novembre-décembre 2009